Identifier son style de manager, c’est bien, mais encore faut-il l’adapter au public cible dans l’objectif d’une amélioration du travail.
Identifier les facteurs d’influence du style de management
D’une part, les facteurs internes sont :
- les politiques de l’entreprise ;
- la culture d’entreprise ;
- l’organisation ;
- l’engagement des employés ;
- le niveau de performance des employés ;
- la personnalité propre à chaque collaborateur.
D’autre part, les facteurs externes sont :
- l’économie ;
- le profil des consommateurs ;
- le profil des clients ;
- les fournisseurs ;
- la demande ;
- la concurrence ;
- les lois sur l’emploi.
Ces facteurs d’influencent affectent et diversifient le style de management.
Adopter le bon état d’esprit
Les avis, les idées et l’engagement des salariés font la force de l’entreprise. Ces éléments contribuent à la prospérité de l’activité et garantissent le fonctionnement de l’organisation. Dans cette lancée, un bon manager se montre agile. Il valorise le potentiel de ses collaborateurs. Il leur accorde un pouvoir de décision. Il fait preuve de transparence dans la communication des informations cruciales.
Le manager promeut l’autodiagnostic et l’auto-régulation dans une perspective d’autonomie. Il libère l’intelligence de ses collaborateurs. Il se montre flexible dans la recherche de solution et la résolution des problèmes de l’entreprise et des clients. Il déborde d’énergie et transmet ses ondes positives à ses salariés.
S’armer des softs skills
Les softs skills ou les compétences comportementales interviennent dans la personnalisation du style de management. Ils se traduisent par l’intelligence émotionnelle. En d’autres termes, le manager identifie, écoute et comprend ses émotions pour ensuite les reconnaître chez les membres de son équipe.
L’empathie est un soft skill indissociable au leadership. Le manager est compréhensif et humble quand il le faut. Il interagit avec tout le monde et n’exclut aucun salarié dans son axe de communication.
Par ailleurs, l’adaptation du style de management passe par un diagnostic de la maturité de l’équipe afin de cerner le niveau, les compétences, les qualités et le degré de motivation des membres.